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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 15:03

 

Tomtom déborde d'activité au cours d'un long week-end éprouvant. Je sillonne la région parisienne en tous sens et il m'apporte sérénité, gain de temps et sécurité.

 

Si je suis à l'aise sur la majorité des grands axes de cette mégalopole, je le suis moins dans les coins reculés, dans les banlieues non visitées depuis des décennies, au milieu des multiples échangeurs englués d'un trafic dense, au sein de nœuds routiers complexes et inconnus.

 

Partout, le GPS me guide avec sûreté, me permet d'anticiper les changements de directions, de me positionner sur les bonnes voies au bon moment. Ainsi, mon attention est complétement libérée pour surveiller la densité un peu folle de mon environnement et prévenir les multiples occasions de se faire bousculer ...

 

Et pour ce qui est de trouver une adresse précise, déjouer les sens uniques, virevolter au sein de quartiers neufs ou en pleine mutation, je ne prépare plus rien !

 

Auparavant, j'auscultais au préalable cartes et plans, essayais de les mémoriser, prenais des notes que j'insérais dans le lecteur de la sacoche de réservoir … Ces notes ne sont pas toujours lisibles lorsque toute l'attention est absorbée par l'analyse permanente d'un trafic aussi dense qu'agressif, par la lecture des panneaux … pas toujours explicites ou bien placés et même parfois absents …

Et là, il faut s'arrêter, ressortir cartes ou plans, réévaluer son itinéraire et reprendre sa route après avoir tout rangé, réenfilé ses gants … Que de marges de temps à prévoir, que de risques nouveaux pris !

 

Fini ce temps-là. Tomtom me guide sans faillir. Si je décide de changer d'itinéraire, il m'accompagne, recalcule avec justesse un nouveau parcours, gère le temps estimé d'arrivée, m'indique où se trouvent les stations-service les plus proches et surtout, m'amène exactement à l'adresse programmée, se jouant de tous les écueils tels les sens uniques, les voies piétonnes, les zones de travaux ...

Maintenant que j'ai acquis la confiance nécessaire dans l'outil, je déambule dans ce magma automobile avec une sérénité accrue. Toute l'attention est portée sur la route et ses aléas, sur les autres usagers et leurs multiples inattentions ou "égarements".

 

Dans ce contexte, le Rider 400 conjugue parfaitement gain de temps et sécurité accrue !

Une nouvelle configuration de route pour le Rider 400 !

Une pression sur l'étoile de destination, une nouvelle pression sur l'icône "Aller",
quelques secondes et le parcours est opérationnel !

 

Mais pour le retour, Tomtom s'exerce dans un environnement nouveau : le brouillard …

Trois heures de route dans une purée de pois dense où le manque de visibilité est encore amplifié par le film de gouttelettes qu'il faut continuellement évacuer de la visière.

 

Un coup d'œil sur l'écran et je peux anticiper l'approche d'un rond-point ou d'une commune, un virage plus prononcé, un carrefour … Dommage qu'il ne détecte pas encore les trainées de boue ou les amas de feuilles mouillées qui ont parfois tendance à s'accumuler en surfaces particulièrement glissantes …

 

Et ceci s'avère particulièrement sécurisant lorsque je suis coincé derrière un camion pendant plusieurs dizaines de kilomètres. La faible visibilité assortie d'un nombre impressionnant de voitures sans feux (ou en feu de position ce qui revient au même –sauf dans leurs têtes, ils ont allumé leurs lumières !) m'empêche de doubler. Lorsque les feux stops du mastodonte s'éclairent, je peux ainsi savoir si c'est pour une raison précise liée à l'environnement que je peux analyser sur l'écran du GPS d'un simple et rapide coup d'œil, ou si je dois me préparer à un évènement impromptu (voiturette plus lente, travaux, dépassement d'un vélo …).

 

Encore un apport précieux !

 

Mais après avoir passé la Loire, le soleil est omniprésent et je peux profiter de la suite sans avoir à évacuer tout le stress que j'aurais accumulé sans l'efficace support de Tomtom …

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20 octobre 2015 2 20 /10 /octobre /2015 11:51

 

Il faut préparer la bécane pour partir sur le probable dernier circuit de la saison : Magny-Cours où se déroule la finale de la Coupe de France d'Endurance organisée par  O3Z.

 

La météo s'annonçant assez fraiche, j'envisage de monter les manchons sur les poignées, mais je suis pris d'un doute. Le support du Tomtom risque de rendre hasardeuse cette opération …

 

En fait, ces ajouts disgracieux mais efficaces s'installent sans difficultés particulières. Impeccable !

 

Bien que je n'ai vraiment pas besoin de l'aide du GPS, celui-ci est opérationnel, ne serait-ce que pour peaufiner les tests …

Et cela s'avère rapidement le cas. Au bout d'une dizaine de kilomètres, la visière se voile. Le léger crachin se mélange à de minuscules flocons lourds s'agglutinant sur la surface transparente. Si le gant était au sec sous sa protection, il s'humidifie rapidement avec les passages réguliers du doigt pour évincer le film opacifiant. Ça commence bien !

 

Encore une dizaine de kilomètres et la neige lourde mute en de nombreux et légers flocons. Beaucoup moins de souci de visière, mais l'environnement blanchit et les traces sur la route deviennent bien présentes.

 

Sur cette vue du journal "La Montagne", nous avons une petite idée de l'environnement. Quant à moi, je n'étais pas motivé pour m'arrêter et faire des photos de toute façon bien grises et bouchées !

La première hivernale de Tomtom !

 

A la sortie d'une courbe située en haut d'une belle descente, la chaussée se dévoile beaucoup plus difficile. Uniformément blanche !

S'empêcher de toucher au frein avant, tout en actionnant la pédale du frein arrière qui n'est pas immédiatement opérant. Trop mouillé ! Mais ne surtout pas accroitre la pression. Ce serait la glisse assurée à la reprise du grip des plaquettes sur le disque … Et tout se passe bien, la descente se négocie calmement et sans encombres ! ! !

 

Vu l'environnement, je décide de contrecarrer Tomtom en changeant d'itinéraire. Pas question de contourner le Puy de Dôme par le col de la Nugère, je me dirige donc vers l'entrée de l'autoroute A89 de Laqueuille. Mais cet outil est vicieux. Il tente, imperturbablement, de me faire emprunter moult routes pour m'éviter de prendre l'autoroute puis ensuite, de m'en faire sortir … Mais il finit par comprendre qui est le chef … et encore plus entêté ! ! !

 

L'entrée sur la voie dite rapide se réalise derrière 3 saleuses et sous les panneaux annonçant "traitement des chaussées en cours". Pas question d'être rapide donc !

 

Mais après quelques dizaines de kilomètres, la situation s'améliore. En redescendant vers la plaine de la Limagne, le rythme s'accélère d'autant que la météo devient plus clémente et il faut rentrer la tête dans la bulle. Pas pour améliorer le Cx, juste pour éviter les paquets de neige qui se détachent de la bulle et du carénage ! ! !

                             

Enfin, la Diversion arrive, sèche, sur le circuit de Magny-Cours et le Rider 400 s'encanaille entre les bêtes de course, les 600 Yamaha #49 et 1000 Kawasaki #149 du Team MP Racing ! ! !

La première hivernale de Tomtom !

 

Ce qui fait bien rire Louka, le team-manager : "c'est quoi cette grosse mémère au milieu de nos fougueux destriers !" (Paroles un tantinet interprétées et enjolivées ! ! !).

 

Le week-end de courses est en demi-teinte. Pannes à répétions, chute et absence de Tomtom pour l'un des pilote de la 1000, Gabriel Pons (associé à Emilien Humeau). Ce GPS si efficace lui aurait permis de trouver rapidement une pompe et lui aurait évité la fatidique panne d'essence alors qu'ils menaient en tête depuis le début de la course … Dommage ! ! !

 

Après cet excellent week-end superbement organisé par O3Z (courses de folies et ambiance géniale …), il me faut repartir.

 

Pour le retour, le Rider 400 s'avère un allié de choix pour maintenir l'attention. Parfois la fatigue menace, les paupières deviennent lourdes et les réactions moins aiguisées. Alors, sur les routes secondaires et dégagées, je joue avec l'outil.

Je fixe un point sur l'horizon et calcule le temps que je peux gagner sur les prévisions d'arrivée. Puis j'ouvre les gaz et me lance dans la chasse. L'attention grandit avec la vitesse et la somnolence s'évacue aussi vite que l'heure d'arrivée se rapproche … Efficace et gagnant sur tous les tableaux … sauf si un radar s'est égaré sur ces voies aux faibles passages. Et ça, je ne le saurais que dans quelques jours ! ! !

 

Néanmoins, ce jeu, politiquement très incorrect, me procure un avantage indéniable et immédiat. Le temps initial de route indiquait 9h00 et il est réalisé en 7h00. D'où un gain énorme en route de nuit et dans le froid qui venait à grand pas (d'ailleurs, le lendemain matin, tout est gelé !). Je finis par arriver relativement frigorifié, assez endolori (les effets de  l'arthrose s'amplifient par ce temps), mais très satisfait d'avoir pu tenir la distance avec seulement 3 micros-arrêts (2 pleins machine, 1 grand café, le tout associé aux inévitables clopes !).

 

Cette route de nuit me permet de tester aussi la vision nocturne de Tomtom. Dès que la lumière baisse, il passe automatiquement en mode nuit (ce mode peut être forcé). Lisibilité parfaite sans éblouissement. Encore un bon point !

La première hivernale de Tomtom !

 

J'avais donc cru devoir attendre la concentration des Millevaches pour tester le Rider 400 dans des conditions hivernales, mais j'ai pris de l'avance.

Là encore, ce GPS s'avère parfait, et c'est un zéro faute sur encore près de 1000 bornes.

 

Suis-je trop tendre avec  Tomtom ? ? ?

Mais il devient douteux de trouver de réelles failles ! ! !

 

Enfin si ! Il me semble que le compteur soit bizarre. Je le scrute d'autant plus que je n'ai plus de câble de compteur sur la Div depuis de nombreux mois. Mais en dehors des zones urbaines, il a une fâcheuse tendance à rester bloqué sur un fond rouge.

Faut-il changer une cartouche d'encre ?

Ou plus simplement faire évoluer les règles de limitations ? …

 

Et je deviens un inconditionnel … sans perdre mes propres capacités de jugement et d'analyse toutefois !

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17 septembre 2015 4 17 /09 /septembre /2015 15:27

 

Après la mémorable journée d'inauguration de "Chez Raoul" (cf. Chez Raoul ! ), nous avons le privilège de tester les chambres d'hôtes avec Luc, un fidèle du lieu qui s'investit sans compter, et ma cousine Anne. Bien agréable.

 

Initialement, elle m'avait réclamé une virée à Saint Cirq Lapopie et je l'ai embringuée dans ce périple un peu plus varié … Il est temps maintenant de se consacrer à ses vœux !

 

Exceptionnellement, nous déambulons avec sa voiture. Les prévisions météo, sans être rédhibitoires, n'étaient pas fantastiques. De plus Anne redoutait tant de kilomètres sur mon destrier.

Ce que femme veut, Dieu le veut …

 

Accessoirement, cela me permet de tester la batterie du Tomtom. Exceptionnel.

En prenant la précaution de le mettre en veille à chaque arrêt, il ne donne aucun signe de défaillance sur plus de sept heures d'un trajet qui débute par la traversée d'un Larzac magnifique bien que manquant d'un peu de lumière sous les nuages.

Ces terres arides et grandioses où le végétal combat le minéral dans l'occupation d'un rude environnement appellent à l'étonnement, à l'admiration … et à la réflexion !

 

Premier arrêt au viaduc de Millau. Si Anne l'a déjà emprunté, elle le découvre maintenant par sa base et se range à mon avis. Encore plus impressionnant et majestueux vu sous cet angle.

Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !

 

Nous reprenons notre route sous les conseils du GPS qui nous permet de découvrir des paysages aussi variés que superbes et qui nous engage à quelques pauses.

Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !

 

En début de soirée, nous prenons possession de notre logement avant de nous propulser vers le restaurant conseillé par nos hôtes, Le Cantou à Saint Cirq.

Pour cette étape, magnanime, Anne invite son cousin, G. O. et chauffeur pour, entre autre, fêter son anniversaire !

 

Plutôt bon signe, le restaurant est complet et nous devons attendre qu'une table se libère.

Pas désagréable au milieu de ces vieilles pierres !

Nous sommes installés en terrasse depuis quelques minutes lorsque le vent se lève, le grondement du tonnerre se rapproche et la pluie survient. Un peu d'air bienvenu dans l'étouffante chaleur.

 

Rapidement, les cieux se déchainent et nous rentrons précipitamment dans la salle, sous un déluge accompagné de fortes rafales de vent. Les lumières clignotent puis s'éteignent définitivement pour laisser place au grandiose spectacle visible de la fenêtre.

Dans le noir complet, les falaises et bois environnants s'illuminent sous un feu roulant d'éclairs. La cadence de ces décharges électriques est telle que tous les détails de ce superbe environnement restent parfaitement visibles pendant plusieurs secondes d'affilée …

 

Dans ce contexte particulièrement précaire, l'équipe du Cantou ne perd ni sa bonne humeur, ni son efficacité et le service continue, cahin-caha, et heureusement pour nous, nous finissons par être octroyés de mets aussi délicieux que joliment présentés. Ce ne sera pas le cas pour tout le monde. Assurer la totalité du service sans électricité était impossible.

 

Néanmoins, l'ambiance est excellente et nous blaguons autant avec les voisins qu'avec les officiants. Au dessert, alors que nous devisons avec la serveuse, Anne évoque l'événement du jour me concernant. Immédiatement, la jeune femme propose de récupérer toutes les bougies disséminées dans la salle pour marquer dignement cet anniversaire. Je décline l'offre en prétextant qu'il n'y en aurait sûrement pas assez et que la table serait trop petite …

Excellents moments de convivialité, de détente et de rires !

 

Au moment de quitter les lieux, se pose le problème du règlement. Nous n'avons pas assez de liquidités, pas de chéquiers et le terminal de paiement n'est bien sûr pas en mesure de débiter nos cartes bancaires … Comme nous devons revenir visiter le village, je propose de laisser ma carte d'identité en attendant que nous repassions payer. Peine perdue … Ils sont fermés les deux jours suivants !

Ils déclinent donc cet arrangement et nous proposent de laisser le chèque à nos hôtes ! ! !

Merci encore à eux pour cette preuve de confiance.

 

Le retour est scabreux. Il faut retrouver la voiture sous la pluie, heureusement moins violente, puis faire un gymkhana entre les arbres et les coulées de terre et de roches.

5 kilomètres que, pour une fois, j'apprécie de faire en voiture.

En moto, l'exercice s'avérait bien plus compliqué et périlleux !

 

Mais une lumière nous guide dans cette nuit d'encre. Telle l'étoile du berger, "Le Rucher de Pech Larive" brille … grâce à son équipement solaire qui le rend totalement indépendant des réseaux d'approvisionnement électrique !

La petite route qui monte à l'assaut du gîte se termine par un chemin très carrossable et peu encombré … jusqu'aux derniers mètres. Là, un arbre couché barre inexorablement l'accès aux véhicules, mais tout juste au-dessus du parking.

La nuit est parfaite dans ce nid douillet et accueillant. Bercé par les résidus de vent bruissant dans les arbres, je m'abandonne aux doux rêves de cet anniversaire que je ne suis pas prêt d'oublier !

Encore le Lot ! ! !

José a pris soin d'attendre le petit-déjeuner pour débiter cet arbre !

 

Le premier repas met une note de lumière dans le matin brumeux. Les confitures, miels, pains d'épices et fruits sont excellents et bénéficient d'un circuit qui ne peut pas être plus court.

Produits, transformés et dégustés au même endroit !

 

La météo étant encore annoncée comme capricieuse, nous partons sur Cahors pour assurer notre logistique et faire découvrir la ville et son environnement à Anne. J'en profite pour me régaler du cloître de la cathédrale … que je n'avais pas remarqué précédemment.

Erreur plaisamment réparée !

Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
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Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
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Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !

 

La fin de la journée est consacrée au chemin de halage repéré en juillet (cf. Un magnifique chemin de halage ! ). Ma grande cousine admire les prouesses de la nature, les travaux de l'homme, mais aussi les jeux de lumière sur l'eau calme du Lot. Les superbes reflets d'un ciel moiré de légers nuages, des falaises abruptes et d'une végétation exubérante sont autant d'éléments qui aiguisent son œil d'artiste. Elle doit probablement imaginer ses prochaines aquarelles  …

Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !

 

La journée se termine de la plus belle des manières. Un pique-nique au milieu de la nature, mais confortablement installés sur l'équipement du gîte, une solide table et ses bancs. La lumière décline sur la superbe vue que nous octroie ce site pour laisser place à une voûte céleste qui se pare de quelques étoiles, les plus lumineuses. Bientôt, dans la nuit noire, le ciel est constellé d'une multitude de points brillants. De bon augure pour le lendemain. Le calme absolu de l'endroit est parfois malmené par un cri d'animal ou le grondement lointain et fugace d'un avion traversant l'éther à haute altitude.

Bonne mise en condition pour une excellente nuit !

 

Le lendemain matin, nouveau rituel du petit-déjeuner dans un décor sublime. Les bancs de brumes s'étirent et s'évaporent, les derniers nuages montent des vallées, se disloquent, et s'étiolent dans l'azur retrouvé.

Un passage au laboratoire nous offre le spectacle de Véro et José dans leurs œuvres. Les pots de confiture de figues de la veille attendent d'être stérilisés. Les pêches de vigne à peine épluchées vont rejoindre les chaudrons de cuivre pour se transformer en de nouvelles et savoureuses confitures. Certifiés pur sucre, pur fruit … et sainement réalisés avec passion !

 

Un petit tour à la boutique qui s'avère être une caverne dotée d'une somme de produits étonnante, les multiples productions du lieu et une offre annexe de marchandises complémentaires … locales et bio. La constance de l'engagement "nature" est respectée !

 

Un dernier arrêt dans les premiers vergers achève de nous convaincre (s'il en était besoin) quant à l'excellence de la démarche mise en œuvre ici.

Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
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Que ce soit au restaurant "Le Cantou" ou au gîte "Le Rucher de Pech Larive", nous avons rencontré des ambassadeurs parfaits d'un département qui s'affiche, avec raison, sous le vocable "l'esprit Lot".

Quel bel esprit, quel plaisir de rencontrer de telles personnes, quelle joie de partager ces instants fabuleux avec eux …

 

Mais il est temps maintenant de remplir le contrat originel, la visite de Saint Cirq Lapopie. Quelques heures de ravissement dans ce superbe village encore bien encombré de nombreux touristes, même si le flux à tendance à s'amenuiser légèrement.

Plutôt que d'utiliser une suite de mots dithyrambiques, en voici quelques vues :

Encore le Lot ! ! !
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Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
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Encore le Lot ! ! !
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Et en bonus, je vous offre quelques photos du mois de juillet que j'avais volontairement omises précédemment afin de ne pas déflorer le sujet avant cette visite avec Anne (cf. Rider 400 - Goguette en Quercy !).

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Une lumière bien différente au petit matin encore frais de cette période de canicule, et surtout un lieu paisible avant l'afflux touristique.

Il paraît que l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt …

Encore le Lot ! ! !
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Le retour s'opère par l'édifiante vallée du Célé dont la route fête son 150ème anniversaire.

Encore plus magique !

En plus du spectacle, elle nous offre une récolte impromptue. Un figuier martyrisé par le déchainement des cieux nous propose ses fruits parfaitement murs … sur ses branches au sol. De quoi s'occuper sainement pour les dernières heures de vacances de ma visiteuse.

Et je découvre aussi un nouveau site, l'ancien prieuré de Val Paradis avec sa tour si particulière, situé à Espagnac Sainte Eulalie.

Encore le Lot ! ! !
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Une dernière pause assez rapide à Figeac :

Encore le Lot ! ! !
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Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !

 

Les deux jours restants sont essentiellement consacrés à la récolte de mûres et à la réalisation de confitures. De quoi retourner vers Clermont puis la capitale avec des souvenirs sucrés et concrets.

Mais aussi une rapide escapade vers Salers et au château de Val :

Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
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Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !
Encore le Lot ! ! !

 

Quant à moi, il faut que je prépare l'arrivée de mes prochains visiteurs, Amiénois cette fois-ci …

 

Merci encore à toi, Anne, pour ces moments de partage, d'échanges et de souvenirs
que tu as su provoquer, animer et vivre …
sans compter cet anniversaire à grand spectacle !

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6 septembre 2015 7 06 /09 /septembre /2015 19:13

 

Après sa virée dans le Lot, le Rider 400 me guide vers le Nord.

 

Paris et sa banlieue ne le perturbent aucunement. Il me fait découvrir de nouveaux itinéraires et quelles que soient mes circonvolutions, il n'est absolument jamais pris en défaut et recalcule ses parcours avec une dextérité étonnante.

 

Puis c'est une escapade sur Amiens pour aller saluer mon ami Éric, celui avec lequel nous avons tant œuvré pour le GECO !

Programmé sur routes sinueuses, le GPS me guide entre Vexin et Picardie, m'offrant de virevoltantes routes traversant nombre de villages pittoresques, sous un franc soleil.

Un régal !

 

Au téléphone, Éric me conseille d'éviter la ville en travaux. Un peu rebelle, je m'y engage avec obstination. Ne suis-je pas là pour tenter de mettre la machine en défaut ?

Peine perdue, le Rider 400 me guide avec célérité jusqu'au bout !

 

Petite pause en ville bien agréable :

Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !

 

Puis je reprends ma route vers le nord du Val d'Oise pour saluer des compagnons de bien des balades, Véro et Pascal (merci encore pour le chargeur de téléphone, voilà qui m'a bien dépanné !).

Et là, Tomtom touche une corde sensible.

Il me fait prendre des routes parcourues il y a 42 ans, pour ce qui était mes premières "grandes" virées. Combien de fois les Honda 350 et 450 sont-elles passées par là pour rejoindre le fort de Guise (02) où j'œuvrais avec un plaisir fou sur ce chantier archéologique du Club du Vieux Manoir ?

Le premier retour fut d'ailleurs celui de ma première chute, la machine comme le bonhomme un peu abimés !

 

 

Un peu plus tard, c'est le test de l'international. Je traverse le Luxembourg pour me rendre à une course de motos anciennes en Belgique.

Un bug semble se dessiner. Aucune "zone de danger" (pour le portefeuille !) ne se matérialise sur le GPS, contrairement à la France où les radars fixes sont ainsi annoncés …

En fait, il semble que ce soit plus engendré par des différences de politique de "sécurité rentière". Aucun radar n'est aperçu en traversant ces deux pays …

Je serais tout de même curieux de savoir si ces contrées voient leurs statistiques de mortalité routière évoluer comme les nôtres ? ? ?

Sinon, en ce qui concerne l'efficacité de guidage, le Rider 400 ne semble pas connaître les frontières. C'est toujours un sans-fautes !

Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !
Tomtom – Bilan des 5000 premiers kilomètres !

 

Pour le retour, j'ai demandé un parcours rapide mais sans péage et je le contrains à certains points de passages non proposés afin de profiter de certains secteurs tels que l'est des Vosges ou la traversée du Morvan.

Alors que je passe à quelques centaines de mètres d'une de ces étapes programmées, Tomtom reprend son cafouillage des débuts que j'ai surnommé le " syndrome E.T " (cf. Première sortie de Tomtom !).

Heureusement, maintenant que je connais ce problème, il est très facilement soluble. Il suffit de demander  un nouvel itinéraire vers la destination et la performance du GPS reprend ses droits. De plus, ce bug est parfaitement référencé chez le fournisseur et la mise à jour corrective devrait être prochainement disponible.

 

 La semaine dernière, Tomtom a visité le Larzac, le viaduc de Millau, la vallée du Lot, le Cantal, et il se révèle à nouveau comme un parfait auxiliaire de tourisme, performant et de bon conseil.

 

Les 5284 kilomètres parcourus m'ont insidieusement rendu "addict" de l'outil. A part ce bug, je ne l'ai jamais pris en défaut et ce n'est pas faute d'avoir essayé.

Il a su me donner suffisamment confiance pour ne plus préparer mes cartes dans le lecteur de la sacoche de réservoir !

Il a subi les fortes chaleurs, les trombes d'eau, les orages en restant tout le temps opérationnel.

 

J'ai hâte d'être maintenant en décembre pour le confronter aux Millevaches et probablement à des températures négatives, voire même à la neige et/ou au brouillard givrant …

 

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 14:16

 

Le Tomtom est à l'arrêt depuis quelques jours. La chaleur est omniprésente et je n'ai pas vraiment l'envie d'enfiler mon armure pour faire quelques ronds dans le secteur. Et comme je suis incapable de rouler en short et T-shirt, je délaisse la moto … provisoirement !

 

Mais une opportunité se présente rapidement. Une vacancière en visite me quémande une sortie de quelques jours pour découvrir Saint Cirq Lapopie et ses environs. D'un naturel faible, je me laisse soudoyer et nous voici partis dans la fournaise estivale.

 

Je n'ai pas vraiment besoin du GPS pour retrouver un secteur maintes fois arpenté avec nombre de copains. Néanmoins, j'en profite pour tester une fonction encore inutilisée : la définition d'un objectif par ses latitude et longitude.

 

Nous baladons toute la journée, sans nous préoccuper des injonctions du Rider 400, mais plutôt au gré des humeurs, en fonction de l'environnement, suivant les besoins de pauses, comme cet arrêt à la découverte de Figeac :

Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !

 

En fin d'après-midi, il nous faut rejoindre rapidement le camp de base et le GPS nous guide sans faillir par de toutes petites routes, viroleuses à souhait, nous offrant de magnifiques paysages et de superbes points de vue. Mieux, si je n'avais pas remarqué l'entrée du camping, Tomtom me l'indiquait.

Guidage impeccable, mais je commence à m'y faire !

 

Le camping de l'Arquette à Vers est parfait.

Le long du Lot, largement doté de platanes il offre un semblant de fraîcheur bienvenue, et un calme appréciable. Le service, minimal au regard des sites étoilés, est aussi sympathique qu'agréable et efficace.

Néanmoins, amis motards, il vous faudra négocier âprement pour en profiter, surtout si vous êtes en groupe. En effet, dernièrement, une troupe en moto ayant abusé d'alcool a importuné les autres usagers tout au long de la nuit. Ne sachant pas gérer les euphorisants, ils ont réussi à faire fuir des familles inquiètes sous les insultes et agressions diverses pour enfin se réveiller penauds … Mais le mal était fait, et l'image fort peu reluisante pour notre communauté y est maintenant bien établie (même s'ils savent visiblement faire la part des choses) ! ! !

 

 

Le matin de bonne heure, nous partons à la découverte de Saint Cirq. Cela nous évite conjointement la chaleur et les afflux massifs de visiteurs. Visite particulièrement agréable dont je ne dévoilerai pas de photos aujourd'hui. En effet, une autre visiteuse a déjà pris date pour cette destination dans quelques semaines et je ne veux pas dévoiler le sujet … Toutefois, quelques vues issues de notre balade pédestre sur le chemin de halage permettent de découvrir ce village accroché à la roche (cf. Un magnifique chemin de halage !  ).

 

Ensuite, c'est la découverte de la vallée du Célé pour ma touriste et d'un nouvel atout du GPS pour moi.

En effet, je suis maintenant suffisamment rassuré dans ses capacités pour lui faire confiance. Ainsi, je peux emprunter les routes qui m'attirent, sans multiplier les arrêts pour visualiser une carte, mémoriser le parcours, m'arrêter à nouveau pour vérifier la bonne marche en avant !

Tomtom se mue en un parfait allié du tourisme. Il prend en charge les aspects rébarbatifs et libère un esprit maintenant davantage préoccupé à profiter encore plus d'un environnement fabuleux …

Cela me permet aussi de découvrir de nouveaux itinéraires, de nouveaux lieux, d'approfondir ma connaissance de milieux que je pensais connus mais où il reste toujours et encore à découvrir, comme cette étonnante vallée du Célé :

Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
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Nous profitons de quelques emplettes pour apprécier la ville de Cahors. Si j'y suis souvent passé, je m'y suis rarement arrêté, et d'une manière trop fugitive …

Et pourtant, quels cours pratiques d'histoire, d'architecture ou de culture occitane, le tout bercé du blues des festivaliers en répétition.

Un ravissement !

Et là encore, indirectement, le Rider 400 s'avère un allié de choix. Alors que je le consulte, une autochtone nous aborde et nous livre ses conseils, en particulier l'existence d'un point de vue unique sur la ville. Merci madame, le lieu valait le coup d'œil … et des photos !

Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
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Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
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Ma "touriste" émet le souhait d'aller vérifier les allégations d'un panneau : l'écomusée de Cuzals ! Tomtom est d'accord avec le fléchage et nous y arrivons sans encombre. La nature du site semble alléchante, la température encore acceptable en ce petit matin et l'accueil des plus agréable. Nous nous acquittons donc des 5 €uros de droit d'entrée et nous engageons dans une marche à reculons dans le temps.

Fabuleux !

 

En fait, nous allons y passer la journée. Entre les "petites" attentions comme la fourniture (gratuite !) d'ombrelles et de spray d'eau tenus au frais, et les diverses animations, pas vraiment le temps de s'ennuyer ou de fuir une chaleur omniprésente (là aussi, un arme infaillible : la tonnelle qui, toutes les demi-heures et pendant 10 minutes lâche son brouillard qui s'avère une impitoyable climatisation).

Le boulanger (Laurent, cela ne s'invente pas !) tient en haleine son auditoire de rendez-vous en rendez-vous. Du pétrissage de la pâte à la dégustation, il démontre son art, tout au long de la journée, et le fait largement partager aux enfants présents, en passant par le façonnage du pain et sa cuisson.

Entre chacune de ces étapes que de découvertes à faire, que de réflexions engendrées.

Les modes de vie Quercynois, pourtant pas si lointains paraissent déjà ancestraux !

De quoi s'interroger sur les avantages et inconvénients de chaque périodes, d'admirer les capacités de l'homme à dompter son environnement, de découvrir maintes techniques, outils et méthodes maintenant plus ou moins révolues …

 

Mais aussi de profiter des multiples démonstrations et ateliers relatifs à la fabrication de la farine sur meule, à la confection de vannerie, à la filature ou au tissage … Avec une équipe homogène en terme de gentillesse, d'écoute, de conseils, de sourires, d'attentions …

Si c'est ça "l'esprit Lot" vanté par les messages du département, cela donne l'envie d'y revenir et d'en profiter encore ! ! !

 

Mais plutôt que de longues phrases, voici quelques vues de cet environnement aussi ludique qu'instructif et, c'est de moins en moins habituel, dénué d'aspect mercantile (prix d'entrée modique en regard de la prestation et de la gratuité pour les enfants, et tarifications annexes –bar, restauration – dépourvues de "l'inflation touristique" d'autant que l'on peut utiliser le mobilier existant pour son propre pique-nique !) :

Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
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Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !

 

Le seul regret, pour revenir au monde de la moto et des compétitions en particulier, réside en un détail :

Nous avions les efficaces "umbrellas", les sympathiques "girls", mais elles n'étaient pas associées.

Dommage ! ! !

 

 

Enfin, il faut bien rentrer. Pour ce faire, nous remontons la vallée du Lot.

Tantôt encaissée entre les falaises, tantôt s'élargissant sur de vastes étendues de cultures, mais toujours chargée d'histoire, de magnifiques architectures et de décors somptueux :

Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
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Rider 400 - Goguette en Quercy !
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Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !
Rider 400 - Goguette en Quercy !

 

En définitive, cette excursion me laisse perplexe.

Ce Tomtom semble doué d'un esprit malin. Il s'ingénie à se rendre indispensable, à remettre en cause mes apriori.

Mais une chose est certaine maintenant, je vais faire du tourisme autrement, sortir encore plus des chemins battus, profiter d'une manière plus approfondie !

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13 juillet 2015 1 13 /07 /juillet /2015 08:38

 

Après une bonne nuit pour se remettre du superbe mais éprouvant week-end de Montlhéry, il me faut prendre la direction du grand ouest. Je joins l'utile à l'agréable en assurant rendez-vous de boulot et visites aux amis !

 

Un imprévu m'empêche de partir le matin pour profiter de la journée. En début d'après-midi, j'hésite à m'engouffrer sur un itinéraire connu ou me laisser guider par le GPS …

 

Tous comptes faits, et motivé par mes derniers tests particulièrement positifs, j'interroge Tomtom sur le trajet le plus rapide sans péages : arrivée 20h00 soit 6h00 de selle. Pas le droit de trainer si je veux éviter le soleil rasant du début de soirée, mais c'est jouable !

 

Une nouvelle fonction apparaît rapidement.

Des propositions alternatives offrant des gains de temps. L'acceptation est aisée. L'écran tactile réagit parfaitement au toucher, même avec les gants. Quelques minutes gagnées par ci et par là, c'est alléchant … et cela s'avère particulièrement efficace.

 

Un autre avantage du GPS se profile.

Je suis parti avec peu d'essence et je veux faire mon plein de carburant le plus loin possible pour éviter un troisième arrêt. Là aussi, c'est parfait. Les stations sont clairement indiquées sur la droite de l'écran. Sans cette précieuse aide, j'aurais fait mon premier plein 80 km plus tôt ce qui m'aurait entrainé à en faire un troisième sur la fin du parcours.

 

Enfin, Tomtom ne tient pas toujours compte des panneaux et m'embarque sur des routes de traverse. Pas du chemin vicinal, de la belle départementale qui serpente joyeusement entre champs et bois, peu fréquentée et au revêtement très correct.

Le gain de temps engendré par un kilométrage plus faible est encore amélioré par un rythme d'autant plus soutenu que le risque du contrôle laser est amoindri … De plus, les "zones de danger" (euphémisme annonçant les radars et voulant probablement dire "zone de danger pour le portefeuille et le capital point") sont clairement visibles. D'abord sur la droite de l'écran pour l'approche puis matérialisée sur le trajet dans la zone en question.

Plus besoin d'ausculter les bas-côtés à la recherche hypothétique d'un quelconque boitier délateur, et sans atteindre de folles vitesses, le compteur du GPS est fréquemment au rouge ! ! !

 

L'arrivée sur Rennes et la fin du parcours se réalise sur des "4 voies" et donc à des allures beaucoup plus proches des conventions. Mais le bilan est cinglant : arrivée à 19h25, soit plus d'une demi-heure de gagnée sur le temps prévisionnel et surtout avec un pilote relativement détendu et frais …

 

Donc, un grand merci à Tomtom qui m'a offert un trajet novateur, rapide et bardé d'une sérénité accrue. D'ailleurs, ceci est, pour moi, un facteur de sécurité accru. L'attention à l'environnement est maintenue et beaucoup plus positive, ce qui augmente la capacité d'anticipation.

Merci aussi à Eric qui, dernièrement, m'a offert de dépasser mes appréhensions générées par ma dernière gamelle et à Vianney (mon toubib-motard) qui semble avoir trouvé un traitement efficace pour gérer les vieilles douleurs …

 

En Bretagne, le Tomtom Rider 400 fait connaissance avec les bords de mer :

Tomtom, Bilan de plus de 2000 km !

 

Il s'avère redoutable pour trouver sans hésitation une adresse dans une ville peu connue. Gain de temps appréciable et rendez-vous sans stress intempestif !

 

Pour me rendre chez mon pote Dédé, je suis légèrement en retard. Je programme Tomtom sur le parcours le plus rapide et il me propose un détour par rapport à l'une de mes routes habituelles. L'itinéraire est nettement plus roulant et offre un gain de temps appréciable … tout en remplissant d'aise les flancs des pneus dans de belles courbes rapides ! D'ailleurs, lorsque j'explique à Dédé mon parcours, il est édifié : " Ah oui, il t'a même fait prendre cette petite portion de route. C'est vraiment un raccourci utilisé seulement par les locaux. Il a l'air diablement efficace ton GPS ! "

 

Sur ses conseils, nous partons découvrir le lac, vidé, de Guerlédan.

Mais ses préconisations ne peuvent pas être appliquées et nous trouvons un autre point d'arrêt qui nous permet de découvrir les vestiges d'une vie antérieure :

Tomtom, Bilan de plus de 2000 km !
Tomtom, Bilan de plus de 2000 km !
Tomtom, Bilan de plus de 2000 km !
Tomtom, Bilan de plus de 2000 km !
Tomtom, Bilan de plus de 2000 km !

 

Nous sommes "perdus au milieu de nulle part" !

Pour le retour je demande donc à Tomtom un trajet par routes viroleuses.

Quel pied ! Un itinéraire de balade superbe et étonnant. Des paysages dignes de l'Auvergne, mais parfois sur des voies inquiétantes. A se demander si nous n'allons pas finir dans la cour d'une ferme !

Mais le Rider 400 ne commet aucune bévue. Nous retrouvons, ça et là, des portions de routes connues pour repartir immédiatement dans des découvertes nouvelles. Ma passagère, émérite et locale de l'étape, se demande parfois si nous allons retrouver sa maison. Elle n'est rassurée qu'à quelques kilomètres de chez elle, retrouvant un environnement familier …

Rassurée et impressionnée ! ! !

 

Mais cette incursion bretonne se termine et je dois prendre la route du retour. La proposition du GPS est exactement identique à mon trajet habituel. Je n'ai donc, à priori, pas besoin de lui, mais je vais tout de même pouvoir tester ses réactions dans des conditions extrêmes, tout en le positionnant différemment sur le guidon afin de pouvoir l'utiliser avec une sacoche de réservoir plus imposante.

 

L'arrivée sur Rennes se réalise sous un déluge impressionnant. L'étanchéité de l'outil n'est pas mise en défaut !

Néanmoins, je suis flashé en permanence alors que ma vitesse est nettement inférieure aux prescriptions. Et Tomtom n'annonce aucune "zones de danger".

C'est simplement l'orage qui se déchaîne !

Cette activité électrique intense semble d'ailleurs importuner le GPS. A plusieurs reprises, il abandonne la visualisation du parcours en apposant divers menu à l'écran. Cela paraît aléatoire et d'autant plus fugace qu'une simple pression du gant sur l'écran détrempé permet un retour immédiat à la visualisation du trajet. D'ailleurs, dès la sortie de la zone orageuse, ce phénomène a immédiatement disparu.

 

Après une rapide halte à Cholet où j'abandonne ma tenue de pluie, je repars dans un univers qui offre un accroissement rapide de la température. Je dois bientôt m'arrêter fréquemment pour me désaltérer et mouiller ma tenue afin d'obtenir une climatisation … très temporaire !

En parvenant à Limoges, le Rider 400 me propose des alternatives écourtant le trajet. Je les refuse toutes. Accablé par la chaleur, je me maintiens sur l'itinéraire maitrisé et n'est qu'une hâte, arriver et prendre une douche.

 

Les 100 derniers kilomètres sont d'habitude un dessert réjouissant de courbes à répétition dans un magnifique décor, comme ici au-dessus du lac de Viam :

 

Tomtom, Bilan de plus de 2000 km !

Mais aujourd'hui c'est plutôt un café amer. La température ne baisse pas et il faut, en plus, scruter le revêtement qui a tendance à fondre par endroits. Même le plateau de Millevaches est une fournaise. Je rêve du mois de décembre où je retrouverai les copains au milieu de la neige pour la fameuse concentration hivernale (bien qu'a ce moment nous risquons de réclamer un peu de chaleur !).

 

Après plus de 2000 kilomètres à scruter les réactions de ce nouveau Tomtom, le Rider 400, et malgré ses errements fugaces de l'aller, je crois que je deviens "addict" !

Pour en profiter pleinement, il faut changer de méthode et s'abandonner (presque) totalement à ses instructions, lui faire confiance, comme me l'a exprimé un certain David.

Ce n'était pas naturel pour moi, mais ça le devient … grâce aux démonstrations répétées et sans failles de son efficience.

Un comble et à la limite, une agression pour mon propre GPS interne !

Est-ce grave Vianney (docteur) cette renonciation ?

 

Toutefois, j'espère vraiment ne pas arriver à un tel point d'abdication de certains, comme encore constaté avec effroi ce week-end.

 

La rue de mon domicile est en sens interdit, sauf riverains, depuis une dizaine d'années. Devant les errements répétés des usagers, le haut de cette rue a purement et simplement été fermé. Mais cela n'empêche nullement de nombreux automobilistes de s'y engager … avant de faire une plus ou moins savante marche arrière !

 

Ce week-end donc, ce sens interdit était doublé d'un second, temporaire pour cause de manifestation sportive, positionné au carrefour précédent une dizaine de mètres en contrebas.

 

Mais de nombreux automobilistes, locaux comme touristes, n'en avaient cure …

Et une pauvre mamie s'est retrouvée coincée, incapable de faire sa marche arrière sans aller écorcher son véhicule sur les murs et trottoirs particulièrement saillants …

 

Bon prince, je lui propose de sortir sa voiture de ce guêpier, tout en lui expliquant qu'elle avait tout de même franchi deux sens interdit pour se retrouver là. Elle ne les avait pas vus !

Mais là, je me fais prendre à partie par des piétons qui venaient de vivre la même chose : "nous aussi on s'est retrouvé coincés. C'est pourtant le GPS qui nous guidait et c'est inadmissible, ce devrait être indiqué" ! ! !

 

Hé oui, ce ne sont plus les conducteurs qui sont responsables, mais les machines …

Et je redoute le moment où, motard ou piéton, je serai en travers de la route préconisée par un GPS et suivie aveuglément par un conducteur irréprochable … puisqu'il se serait conformé aux injonctions du guide électronique !

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 05:22

 

Après sa première journée de roulage, le Tomtom Rider 400 s'éveille tout guilleret dans un univers de rêve :

Les premiers circuits de Tomtom !

 

Il part vers son premier circuit par le chemin des écoliers, accompagné d'un nouvel acolyte en la personne de Serge, et pour en retrouver un troisième, Jacques.

 

Pour cette journée, je programme le chemin le plus court pour rejoindre le 77, avec une étape à Orléans afin de saluer mon neveu Maxime, sensé être au boulot !

 

Si je connais suffisamment ces axes pour ne pas avoir besoin de cartes, je me laisse néanmoins guider par la machine … qui ne faillit à aucun moment !

C'est l'occasion de découvrir de nouvelles routes, mais aussi des secteurs étonnants et insoupçonnés, notamment en forêt de Fontainebleau.

 

Les routes proposées ne sont pas toujours en excellent état, souvent étroites et viroleuses, le trajet nous fait traverser des villes qui auraient pu être contournées, mais ceci est directement lié au "deal" avec la machine : au plus court ! ! !

 

Et si ce "plus court" peut accroître notablement le temps de route, il offre aussi des surprises particulièrement agréables tel ce type de vues, à une quarantaine de kilomètres de Paris :

Les premiers circuits de Tomtom !

 

Le lendemain, les trois compères se propulsent vers le circuit Carole où se déroule la première édition de "Classic Machines". L'itinéraire est connu et parfaitement maitrisé, mais Tomtom est programmé sur le trajet le plus rapide. Il propose une première sortie de l'A104 puis une seconde. Je les décline avant d'accepter la troisième. A chaque fois la mise à jour du nouveau parcours est quasi instantanée.

D'autant plus appréciable lorsque le panneautage fait à ce point défaut, comme ici à l'approche du circuit :

Les premiers circuits de Tomtom !
Les premiers circuits de Tomtom !

 

Le dimanche soir, changement de quartier. Du circuit nous partons vers le 78. Et là, le Rider 400 va réellement subir une épreuve. Autant le passage de Roissy est aisé d'ouest en est, autant il m'a posé des problèmes dans le sens inverse ces dernières années. En fonction des travaux et des voies nouvelles, je n'ai jamais pris le même itinéraire !

Mais là, Tomtom s'avère redoutable. Il me guide rapidement et efficacement au sein du dédale qui enserre l'aéroport. Parfait !

 

Au cours de la semaine, le GPS fait ses gammes en milieu citadin, dans et autour de la capitale.

Là encore, je suis suffisamment à l'aise pour ne pas en avoir besoin, mais quel environnement foisonnant pour tenter de le prendre en défaut ! ! !

Peine perdue.

Non seulement Tomtom fait un zéro faute, mais il me permet d'appréhender de nouveaux itinéraires, plus efficaces.

Edifiant pour un gars qui, sans remettre en cause les apports bénéfiques de la machine, doutait de l'apport réel de ce type d'outils. D'autant qu'un nouvel avantage se dessine, en terme de sécurité.

 

Dans les entrelacs complexes des échangeurs, plus besoin de déchiffrer les panneaux, de rechercher les bonnes directions. D'un simple coup d'œil, et avec suffisamment d'anticipation, je peux me positionner sur les bonnes voies et m'engager sans hésitation sur le bon embranchement, tout en gardant un maximum d'acuité pour surveiller l'environnement.

Un régal !

 

Le week-end suivant, Tomtom rend visite au vénérable circuit de Montlhéry à l'occasion du Café Racer Festival.

Bien que noyé dans cette profusion de véhicules, Le Rider 400 n'est pas perdu. Il sait parfaitement où il se trouve :

Les premiers circuits de Tomtom !

 

Par son guidage parfait, son excellente lisibilité, il commence à jeter le doute dans l'esprit du vieux motard que je suis. Cet outil serait-il plus qu'un gadget ?

 

Je commence vraiment à le croire, mais de légers doutes persistent encore.

Je ne suis pas encore rendu au point de lâcher mes cartes … et ma mémoire …  pour m'abandonner complètement à une forme de diktat du GPS ! ! !

Il va devoir confirmer ces premières impressions pourtant particulièrement positives.

 

A bientôt …

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 18:31

 

Les quelques jours sans moto sont utilisés à découvrir les multiples possibilités de Tomtom et commencer à se familiariser avec les outils.

 

Jusque-là, pas vraiment de difficultés. Entre les commandes assez intuitives et la solide documentation téléchargée, je ne bute devant aucune manipulation, même s'il faut parfois tâtonner pour acquérir la philosophie du produit et les termes utilisés …

J'en profite pour mettre à jour les diverses destinations des prochains jours et évaluer les types de parcours proposés, puis programmer le premier trajet, de la maison vers la Sologne.

 

Je rejette le parcours sinueux qui m'annonce 311 km pour 6h24 et opte pour la route la plus courte (264 km et 4h41).

Ce trajet, que je fais fréquemment plus rapidement (en moyenne 3h30) est nettement plus long (environ 350 km), mais emprunte l'A20 entre Limoges et Vatan.

 

Néanmoins, je vais tout de même tenter de piéger Tomtom en évinçant certains raccourcis sur la première moitié du parcours. En effet, je connais parfaitement cet axe et ses options et je vais donner la priorité au temps, plutôt qu'au kilométrage.

D'autant que ces routes sont loin d'être tristes et rectilignes …

 

De plus, je ne suis pas encore équipé d'oreillette et ne bénéficierai donc pas des instructions audio !

 

Dès le départ, je réfute les injonctions de Tomtom et m'engage sur la portion de route traditionnelle. Le kilométrage de cette petite section est ainsi majoré d'environ 10%, mais le temps minoré de plus de 50 % … sans compter la difficulté et les risques de cette micro-route à la déclivité particulièrement forte et dangereuse (Wheeling aisé mais durement maitrisable !).

Tomtom recalcule sa route et me demande de faire de faire demi-tour. Normal !

 

Je retrouve rapidement la route programmée pour l'abandonner à nouveau sur une vingtaine de kilomètres. Tomtom recalcule en permanence et me propose de nombreuses alternatives. Toujours normal, je lui ai demandé le chemin le plus court et il optimise !

Enfin, quelques instructions me laissent dubitatif. Etant dans mon fief je suis certain que certaines options me rallongeraient …

Mais je ne porte qu'une faible attention au GPS. Je suis sur une "Route A Bonheur" (tous droits réservés à Dédé pour ce terme) et je m'applique plus à aller faire tâter du goudron aux flèches saillantes des bords du pneu …

 

Ussel (19).

Tomtom m'enjoint à pénétrer dans les petites rues de la ville. Cabotin, je poursuis ma route traditionnelle.

Arrivé au carrefour de jonction des deux itinéraires, je m'apprête à tourner à gauche lorsque je découvre que Tomtom me demande de prendre à droite et emprunter la route par laquelle je devais arriver. Edifiant !

A cet instant je repense aux réflexions des journalistes qui, lors des premiers essais presse, avaient découvert un bug en cours de résolution. Cela y ressemble fort !

 

A la sortie d'Aubusson, je profite d'une large aire de repos pour faire une petite pause. C'est l'occasion de rafraîchir la mémoire du GPS. Je l'éteins puis le rallume afin qu'il se réinitialise. Peine perdue car dès la sortie du parking il veut me faire prendre la route du retour …

 

Dans les longs enchainements de la Creuse mon attention se porte plus sur la route que sur le GPS dont le compteur s'entête à rougir pour me signaler ma vitesse excessive … en regard de la loi … D'ailleurs, l'écran (positionné en mode portrait) à tendance à se retourner dans les virages les plus prononcés, pour retrouver une meilleure lisibilité dans la courbe suivante ! ! !

 

A Chénérailles, je suis certain d'être sur le parcours proposé et renouvelle la réinitialisation de l'appareil. Peine perdue. Il passe son temps entre les recalculs de parcours et les injonctions de retour.

Mais je suis aussi cabotin que lui et poursuis ma route vers La Châtre !

 

Lors d'un nouvel arrêt, je reprogramme le parcours à partir du point présent. Miracle, Tomtom m'engage dans la bonne direction et je pars à la découverte de routes encore inconnues, rassuré.

Mais un nouvel avatar se profile. De petites routes en petites routes, Tomtom me demande de prendre une voie dont la signalisation m'indique qu'elle est en impasse. Le panneau est vieux et délavé. Je décide de faire confiance au GPS et m'engage. Après quelques centaines de mètres, Tomtom semble s'être aperçu de sa bévue et programme un demi-tour.

Je reprends donc la route initiale sur les ordres de mon assistant routier qui m'indique de prendre une nouvelle route, annoncée aussi en impasse. Je brave le conseil et continue sur la route.

Tomtom recalcule rapidement et confirme immédiatement mon choix. En enjambant l'A20, j'en déduis que les deux précédentes routes existaient bien avant le passage de cette voie rapide qui occulte nombre de voies pré-existantes. Si cette analyse est juste, il s'agit alors d'une erreur de cartographie. Et dans ce cas, chapeau Tomtom, les réactions se sont révélées aussi rapides que justes !

 

En suivant les conseils de mon guide (mode parcours le plus court), je découvre des environnements insoupçonnés, tel ce village de Bretagne (nous sommes toujours dans le Berry, c'est le nom de l'endroit !) où je fais mon pique-nique :

 

Première sortie de Tomtom !

 

Si la lisibilité était parfaite jusque-là, avec la montée au zénith du soleil, les reflets rendent peu déchiffrables l'écran, voire deviennent éblouissants suivant les angles.

Je change l'orientation en adoptant une position plus verticale.

Le résultat est parfait. Néanmoins, il faudra changer de place le support. En effet, aujourd'hui je roule avec une petite sacoche de réservoir, mais avec une plus imposante, cette position ne sera plus possible.

Un second avantage émerge quant à cette nouvelle configuration. Plus une seule fois l'écran ne s'est retourné alors que certaines courbes demandaient un angle prononcé !

 

La fin du parcours se réalise parfaitement, Tomtom assurant sa mission avec brio, me guidant sans anicroches aux grés de routes semblant perdues au fin fond du monde.

 

Effectivement, il vaut mieux éviter d'aller plus loin ! ! !

Première sortie de Tomtom !

 

Ce n'est pas sur ces secteurs que j'ai accru ma moyenne, bien au contraire.

Et sous le casque, l'esprit divague. Je repense aux bévues du matin et baptise la maladie (en cours de résolution) de Tomtom : "Le syndrome E. T." ! ! !

En effet, c'était un sempiternel et redondant : "retour maison" ; "retour maison" ; "retour maison" …

 

Dans la soirée, une petite balade pour tester la visibilité nocturne. Parfait aussi !

Heureusement qu'il existe ce "syndrome E. T." ! Sans lui, tout semblerait trop beau.

Première sortie de Tomtom !
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